Commune de La Croisille-sur-Briance

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Cyril Herry : Les enfants ne perdent pas le nord

2 décembre 2016

cyril-herry-1A défaut d’écrire au cours des ateliers d’écriture menés par Cyril Herry, l’auteur et éditeur de la commune, sur le temps périscolaire municipal à l’école de La Croisille-sur-Briance, les enfants vont apprendre à lire : une carte géographique. Et pas n’importe laquelle : celle de la commune où ils vivent.
Le premier exercice consiste à demander à chacun des enfants, du CP au CM2, de dessiner la route qu’il emprunte de chez lui à l’école, ou inversement. Les rues, les virages, les commerces, les lignes droites, les carrefours, les maisons, les prés, les forêts, les plans d’eau… Certains dessins peuvent donc se résumer à trois ou quatre lignes, tandis que d’autres prennent les allures de serpentins déroulés dans la campagne. Tous sont illustrés de petits repères : des arbres, des panneaux, des troupeaux de moutons ou de vaches…
En parallèle, il est question de boussole. Où est le nord ? Où est le sud ?
L’exercice est ludique et se déroule le plus souvent sous forme de dialogue avec les enfants. En milieu rural, lorsque l’on aime marcher et faire du vélo, il importe souvent de savoir déchiffrer une carte et de parvenir à s’orienter grâce à elle, pour savoir où l’on est et où l’on va. Que l’on ait six, huit ou dix ans, une carte reste un dessin. Un dessin mystérieux au premier abord, mais que chaque enfant est en mesure de déchiffrer s’il se concentre et parvient à s’élever dans le ciel, comme s’il était à bord d’une montgolfière.
Un point A et un point B : d’où viens-tu et où vas-tu ? Quelles routes ou quels chemins empruntes-tu pour t’y rendre ?
« Ce petit rectangle noir sur la carte, c’est ma maison. Autour, c’est mon jardin. Dans ce pré, il y a deux ânes, et ici il y a un très vieux chêne. Là, c’est la place du village, avec son épicerie, sa pharmacie, son garage automobile, et plus loin la boulangerie. Et l’école est ici. » .

 

 

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Samedi…Découvrez la magie de noël.

28 novembre 2016

noel-mise-en-place-1C’est samedi 3 décembre à 18h00 précises qu’aura lieu la mise en lumière de la place du centre bourg par le père noël lui-même pour les habitants et les enfants de La Croisille qui sont toutes et tous invités à venir découvrir la magie de noël dans leur commune.
Tout ce travail a été réalisé, comme tous les ans maintenant, avec les idées et sous la responsabilité de L’adjointe au Maire Isabelle Bourliataud avec l’aide des employés du service technique municipal.

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Congrès des groupes folkloriques Français

27 novembre 2016

l-lafaye-jgd-deredempt-et-lafargeCe samedi soir à l’invitation du Président de la Fédération régionale Limousin Jean-Loup Deredempt et du Président national Nicolas Charlety, j’ai participé  en tant que Maire de La Croisille sur Briance, commune résidente de l’Escola dau mont-gargan, à la soirée de clôture du Congrès national des groupes folkloriques français.
Après les assemblées générales ordinaire et extraordinaire, le conseil d’administration et la réunion des présidents c’est dans les locaux du Conseil Départemental à Limoges que c’est tenue cette soirée, terminé en musique avec l’orchestre de la Fédération » Los Musicaires » en présence de Laurent Lafaye, Gaston Chassain et Thierry Lafarge.

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Echec et mat avec Aurélien DEBORD

25 novembre 2016

aurelien-debord-1 Lorsque  le championnat du monde d’échecs battra son plein à New-York jusqu’au 30 novembre, les jeunes de l’école communale de La Croisille-sur-Briance s’initieront également au jeu des rois dans le cadre des ateliers périscolaires mis en place par la municipalité.
Chaque semaine, les élèves se réunissent autour d’Aurélien Debord, par ailleurs créateurs à La Croisille de l’agence web spécialisée dans la création de site internet, afin de découvrir ce jeu ancestral, qui, selon la légende, aurait vu le jour il y a 5000 ans en Inde. Certains enfants découvrent le jeu et ses règles ; d’autres en connaissent les bases et s’initient alors à diverses ouvertures.
Chaque atelier s’articule en 3 temps : 

  1. une partie théorique : la présentation d’un concept échiquéen comme la fourchette, le clouage ou bien une ouverture ;
  2. ensuite, une partie pratique : la résolution d’un problème tel qu’un mat en 2 coups
  3. enfin, une partie ludique : les élèves s’affrontent entre eux dans la  bonne humeur.

Lors des parties, chaque enfant s’efforce de trouver les meilleurs coups tout en veillant à ne pas sous-estimer son adversaire. Une pièce pouvant en cacher une autre !

 

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Un bouquet d’activités proposé

23 novembre 2016

club-du-3-eme-age-nov-16-a Croisille 3 éme âge a organisé son après-midi festif de novembre et les anciens ont répondu présent à l’ invitation, ravies de participer à ce traditionnel rendez-vous convivial, placé sous la présidence de Viviane Ruchaud et en présence du Maire de La Croisille.
Le club a pour but de masquer la vieillesse et le grand âge, pour accompagner les seniors.
Ce club local s’investit pour que la vie associative soit un plaisir et vise à répondre aux ambitions des nouveaux retraités.
Créer un lien social et donner une place aux retraités dans la commune sont les deux principaux objectifs avec des opportunités de trouver son plaisir et le partager avec d’autres adhérents : des après-midi culturels, comme le loto ou des thé dansants, des loisirs créatifs et conviviaux, des voyages, ou de bénéficier d’avantages économiques.
Dans ce cadre, le club de La Croisille ne manque pas de dynamisme et il ne reste pas un mois sans offrir des circonstances de rencontres conviviales avec des repas, des sorties ou les jeux de société.. !

Contact : Club Croisille 3 éme Age : tel 05.55.71.73.72.

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Si Elisabeh Drouard m’était contée ?

17 novembre 2016

elisabeth-drouard-avec-les-enfantsComment mener des ateliers périscolaires à l’école de la Croisille, qui ont pour but de donner aux enfants une solide culture générale, sans un passage par la lecture, pour leur en donner le goût ?
Deux fois par semaine, Elisabeth Drouard intervient dans la bibliothèque pour faire découvrir aux différents groupes d’enfants, du CP au CM2, les livres et la lecture par le biais de CD audio où sont lus des contes et des romans.
Ce sont souvent les enfants eux-mêmes qui font le choix du livre lu ou écouté, dans un temps de détente, de lecture calme et de partage. Le livre est choisi au sein de la bibliothèque municipale qui propose un grand choix d’ouvrages.
Tout d’abord, la lecture, soit par un jeune, soit par Elizabeth Drouard, dans les deux cas un respect de l’écoute est demandé. Il est fréquent qu’un fond musical accompagne cette lecture. Ensuite, le groupe rebondit sur l’œuvre en question, par le dialogue, le dessin ou le mime pour la compréhension du texte.
Bien entendu, questions et explications sont données sur le vocabulaire inconnu, et quelques séances sont consacrées, toujours par l’intermédiaire d’un conte, à la connaissance du patrimoine littéraire, notamment lorsqu’il est question de grands auteurs classiques. Notre culture générale.

 

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Campagne de stérilisation des chats de la SPA.

17 novembre 2016

chat-errantVous pouvez faire stériliser votre chat du 21 novembre au 3 décembre avec des tarifs réduits, en profitant de la campagne de stérilisation de la SPA de la haute-vienne, la quasi totalité des vétérinaires du département participe à cette opération…Aussi dépochez vous , car les carnets de rendez-vous se remplissent très vite.

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Bon appétit à toutes et à tous

11 novembre 2016

repas-des-anciens-11-nov-2016Comme chaque année à l’occasion du 11 novembre, après la cérémonie de commémoration au monument aux morts, a eu lieu le repas de la municipalité offert aux anciens de la commune.
Ce repas des anciens s’inscrit dans les traditions bien ancrées de La Croisille et cette année c’est 120 personnes qui répondus à l’invitation du Maire et du Conseil Municipal.
Le plaisir premier de celui-ci est avant tout de partager des instants de convivialité et de nouer aussi des liens d’amitié, puisque tous les anciens concernés ne fréquentent pas le club du troisième âge.
Ce repas, où les élus et Monsieur le Maire en tête servent à table la centaine d’anciens, correspond à un moment privilégié, et ce n’est pas un luxe par les temps qui courent, car il est important qu’une société comme la nôtre ne laisse pas ses anciens sur le bord du chemin. C’est tout le sens de ce repas, de créer les conditions d’un vivre ensemble pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux arrivants de plus de 65 ans, afin qu’ils trouvent dans la commune un accueil chaleureux, une joie de vivre et une joie d’y vivre.
Comme tous les ans, c’est Isabelle Bourliataud qui a ordonnancé la mise en place et comme tous les ans pour commencer, Monsieur le Maire demanda une pensée pour celles et ceux qui nous ont quitté depuis le repas de l’année dernière. Puis Clody Musette fit rayonner son accordéon, et le repas préparé par Olivier Lavaure fut lui-même précédé d’un « très bon appétit à toutes et à tous ».

 

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11 Novembre, le discours de M le Maire.

11 novembre 2016

 

depot-de-gerbe.Mesdames et Messieurs,
Mesdames et Messieurs les élus,
Messieurs les Représentants d’Associations d’Anciens Combattants, Résistants et Déportés,
Messieurs les Porte-drapeaux,
Mesdames et Messieurs les représentants de la gendarmerie et des pompiers,
Ladies and Gentlemen,

 Chers amis,

Nous sommes réunis ce matin avec nos amis anglais, comme c’est maintenant la tradition du 11 novembre à La Croisille, pour rendre un hommage appuyé aux hommes et aux femmes tombés au champ d’honneur entre 1914 et 1918, et qui ont sacrifié leurs « 20 ans » pour que nous soyons libres aujourd’hui.
Et cette année, si vous le voulez bien et compte tenu des derniers événements internationaux nous allons également rendre hommage à ceux de 1870, qui ont été le fondement de notre République et aux victimes des attentats de Paris et de Nice
C’était il y a 100 ans, un siècle, mais les images demeurent omniprésentes. Avec la 1ère guerre mondiale, la France et l’Europe ont basculé dans un autre monde dont l’héritage est encore vivace, et ce monde ne s’est finalement jamais vraiment remis des atrocités issues des deux conflits mondiaux du 20e siècle.
Car cette première guerre mondiale devait être « la der des ders » à la suite de quatre années redoutables de sang et de larmes. Quatre années d’horreur, d’angoisse, de souffrance, de privations. Quatre années qui virent disparaître plusieurs générations. Tous ceux qui vécurent cette période revinrent des combats à jamais transformés, à jamais marqués, pour certains à jamais brisés, et ils exprimèrent le souhait de raconter et de témoigner.
Henri Barbusse dans « Le feu », pour lequel il obtiendra le Prix Goncourt, ou Blaise Cendrars dans « La main coupée » décrivirent avec justesse l’horreur de la vie des poilus dans les tranchées, affrontant le froid, la boue et le tonnerre de feu qui s’abattait chaque jour sur eux.
Le bilan effroyable de cette guerre est connu de tous, et les chiffres donnent le vertige : 9 millions de morts, 6 millions de mutilés, dont pour beaucoup les plus jeunes de notre vieux continent. Venus également des quatre coins de l’Empire Français de l’époque, de l’outre-mer, de l’Afrique Noire, de l’Afrique du Nord, de l’Indochine, de l’Océanie, des centaines de milliers d’hommes ont contribué à l’effort de victoire, sans oublier les britanniques venus eux aussi combattre à nos côtés et qui, pour beaucoup d’entre eux, l’on fait au sacrifice de leur vie.
Ce qui fit dire à Kant : « La guerre crée plus de méchants qu’elle n’en supprime ».
Comme vient de le dire Charlène, cette année est le centenaire de la bataille de Verdun et de celle de la Somme que nous avons menées en commun avec nos amis britanniques. Elle a rappelé que notre pays est sorti ruiné et meurtri de ce conflit : 1 million 400 000 morts, dont 600 000 victimes civiles, 3 millions de blessés, de mutilés, d’aveugles, de gazés, ceux que l’Histoire à retenus sous l’appellation de « gueules cassées ».
Souvenons-nous que c’est le 11 novembre 1918, à 5h15 du matin, que les plénipotentiaires allemands acceptaient les conditions de l’armistice du Maréchal Foch dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.
A 11 heures, le cessez-le-feu devenait effectif et la France pouvait célébrer la victoire, qui était aussi la revanche de 1870 sur ceux qu’on appelait alors les Prussiens.
A Paris, le 11 novembre, la Chambre des députés et le Sénat firent un triomphe à Clémenceau, l’homme qui incarnait ce jour-là la victoire. Après leur avoir lu les conditions d’armistice, le
« Tigre » s’adressa aux parlementaires en ces termes : « Au nom du peuple français, au nom du gouvernement de la République Française, j’adresse le salut de la France Une et indivisible à l’Alsace et à la Lorraine que nous avions perdu en 70 ».
98 ans après la fin de ces dramatiques évènements, la France se souvient du sacrifice de ses enfants et elle n’oublie pas, comme je le disais précédemment, celui de tous les hommes venus d’ailleurs pour mourir sur notre sol.
Quand, en 1922, le législateur instaura, le 11 novembre, un jour férié dédié à la commémoration de la victoire, il était sans doute loin d’imaginer qu’au siècle suivant, les Français se réuniraient encore dans tout le pays, en souvenir de ses enfants morts pour la liberté. Et pourtant, nous sommes là, encore, aujourd’hui. Nous sommes toujours aussi nombreux autour de notre monument aux morts, 100 ans après 14-18 et 146 ans après 1870, alors qu’une seconde Guerre Mondiale est passée entre-temps, alors qu’acteurs et témoins ont tous disparus, la ferveur du 11 novembre ne faiblit pas.
Notre commune elle-même a payé un lourd tribut à celle qu’on pensait être la « der des ders ». Il suffit de lire tous ces noms sur notre monument aux morts pour voir que chaque famille d’ici fut touchée. De Celle des AUGERAS à celle des VERDEYME, ce sont plus de 100 enfants de la Croisille qui ne sont pas revenus vivants au village.
C’est toute la force des Monuments aux Morts : ils nous rappellent l’héroïsme et la victoire, tout en égrenant les noms de ceux qui ont souffert et connu la mort. Trop souvent aujourd’hui, malheureusement, les monuments aux morts se trouvent dans un environnement d’indifférence. Nous devons leur rendre toute l’attention qu’ils méritent pour ne pas oublier l’horreur de la guerre, pour que le passant ne les regarde plus jamais de la même façon.Ces monuments nous invitent au contraire à prendre la mesure, au quotidien, de la chance que nous avons de vivre libres dans un pays en paix au sein d’un monde tourmenté par de terribles conflits. Nous le voyons bien avec les actes terroristes que nous subissons, sans oublier nos terrains d’opération en Afrique, au Moyen-Orient, où nos soldats défendent, au péril de leur vie, nos valeurs républicaines.
C’est précisément quand tous les témoins ont disparu qu’il faut prendre garde que l’Histoire n’anéantisse pas le souvenir, mais au contraire le vivifie. Comme nos ancêtres au retour des tranchées, il faut être plus que jamais vigilants et résolus à ce qu’une telle épreuve ne se reproduise pas.
Commémorer le 11 novembre 1918, c’est accomplir notre devoir de mémoire vis-à-vis de ceux qui nous ont légué les valeurs de courage pour la défense de la Nation et de la République, mais aussi celles du pacifisme.
Rappelons-nous aussi que 14-18 fut une sorte de revanche de 1870, contre l’incurie de ceux qui gouvernaient avec l’Empire La France à l’époque. Ayons une pensée pour celles et ceux qui, dans plusieurs villes de France, dont Paris et Limoges, se levèrent et se révoltèrent avec la Commune, notamment pendant la semaine sanglante du 21 au 28 mai 1871.
N’oublions pas que les fondements des idées de notre République viennent de là. C’est la Commune qui inspira la séparation de l’Eglise et de l’Etat qu’elle avait appliquée, et conséquemment la laïcisation de l’enseignement, et que tout cela mena à la chute de l’Empire et à l’avènement de la République.
Souvenons-nous des Eugène Pottier, Jules Vallès, Louise Michel, et bien entendu de Jean Baptiste Clément qui lui-même a combattu pendant la semaine sanglante de fin mai 1871. Il est l’auteur de cette belle chanson, « Le Temps des Cerises », qui n’a pas pris une ride 146 ans après et qui est devenue une vraie chanson populaire, une chanson de nos racines républicaines, et que les poilus de 14 chantaient en montant à Verdun ou aux Chemins des Dames.
Si vous le voulez bien, nous allons écouter ensemble la version chantée l’hiver dernier par le chœur de l’armée française en hommage aux victimes des attentats de Paris, et ayons de même une pensée pour les victimes de l’attentat de Nice.
Rêvons ensemble du jour où le retour à la paix ne sera plus seulement, comme l’écrivait Jean GIRAUDOUX, « l’intervalle entre deux guerres », mais plutôt comme l’avait voulu le philosophe Emmanuel KANT, « l’aube d’une paix perpétuelle ».
Que le souvenir du sacrifice des combattants de ces guerres renforce encore notre détermination à œuvrer pour la paix. Tout au long du 20e siècle, il n’y a pas eu de Nations dans le monde qui se soient autant affrontées que la France et l’Allemagne.
Depuis, le chemin parcouru après la Seconde Guerre mondiale a été immense. Tout cela a été rendu possible, grâce à l’œuvre des pères de la réconciliation franco-allemande : Robert Schuman, le chancelier Adenauer et le général de Gaulle.
Il n’y a pas aujourd’hui dans le monde d’autres Nations que la France et l’Allemagne qui soient animées par un désir aussi intense de poursuivre la construction d’un avenir commun. Cette dynamique de paix, de prospérité partagée et de fraternité n’est sans doute possible que parce que nous nous sommes tant affrontés, trop affrontés. Nous avons su tirer les leçons du passé. Il nous faut continuer.André Malraux a donné, me semble-t- il, le sens et la portée de toute commémoration lorsqu’il affirmait : « Sachons-nous unir par un avenir fraternel plus encore que par un passé commun ».
Et Jean Jaurès disait « Maintenir la tradition, c’est garder la flamme, non les cendres ».
A La Croisille aussi, nous devons travailler ensemble pour garder la flamme et pour que le « plus jamais ça » puisse avoir un sens partagé et approprié par tous, un sens véritablement républicain.
Soyons conscients de la fragilité de notre société qui n’est jamais à l’abri d’un retour de la barbarie qui aujourd’hui prend la forme du racisme, de l’islamophobie, de l’antisémitisme, de l’exclusion et du rejet de l’autre au prétexte qu’il est différent de nous.
L’actualité nous rappelle chaque jour, avec son cortège d’images tragiques, combien les conflits, les guerres n’ont jamais cessé de résonner, partout dans le monde.
Pour terminer je forme le vœu qu’en célébrant notre passé commun nous soyons plus unis pour un avenir fraternel.

 Vive la Paix,
Vive la France,
Vive la République,

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le flower-power de Ged récompensé

10 novembre 2016

ged-avec-son-prixC’est à l’hôtel du Département que Ged Wallis s’est vu remettre le prix « Coup de cœur du jury pour un jardin secret » des mains du Président Jean-Claude Leblois devant une assemblée de lauréats et d’élus.
Le jury fut particulièrement sensible à la diversité du choix des végétaux de Ged Wallis, à leur équilibre dans l’espace, à la qualité de l’entretien de son jardin secret et à sa richesse étonnante, à l’originalité des compositions et à l’harmonie des formes et des couleurs agencées.
Car au-delà de l’embellissement, le prix remis à Ged l’est aussi pour le fait qu’il respecte la nature, et plus particulièrement l’environnement, ce qui représente un enjeu majeur du XXIéme siècle, car Ged évite de même l’utilisation des pesticides, des engrais, et il réalise son propre compost.
Sa pratique de gestion durable du jardin secret crée une explosion de couleurs et de nature, au gré des saisons, qui contribue à donner l’exemple par de petits gestes simples de jardinier amoureux des plantes et de la nature.

 

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