
Commune de La Croisille-sur-Briance
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Aurélie Lion, plus connue sous le pseudonyme de « Chakicou » sera présente tous les mercredis de 11h00 à 12h30 dans le hall de la salle polyvalente de La Croisille pour vous accueillir.
Vous pourrez lui confier tous vos petits travaux de couture (ourlets, fermetures, doublures, tailles etc…). Et les animaux ne sont pas oubliés, puisque sont aussi réparés les manteaux de chiens les panières, les couvre-têtes moustiquaires et les couvertures de chevaux, ainsi que les harnais.
Vous pouvez également retrouver Chakicou le lundi à St-Vitte de 9h00 à 10h00, puis de 10h30 à 12h00 à Châteauneuf-la-Forêt et ensuite à La Porcherie de 14h00 à 16h00, ainsi que le vendredi de 14h00 à 15h00 à Vicq-sur-Breuilh et à Château Chervix de 15h30 à 16h00.


Initialement, le pont rendait infranchissable la montaison des truites et présentait le premier obstacle rencontré sur ce cours d’eau depuis le Ligonat, malgré un habitat favorable à la truite en amont. D’où l’intérêt d’un nouvel aménagement.
Celui-ci a consisté à fractionner la chute d’eau totale de 80 cm en 4 chutes de 20 cm maximum.
Les travaux suivis par le PETR de Monts et Barrages ont été confiés à l’entreprise locale de Dominique Marréchia, financés à 50% par l’agence de l’eau, 20% par la Région Nouvelle Aquitaine et 30% par la commune.

Différents artistes locaux seront présent afin qu’ils puissent montrer leurs réalisations et faire partager leur passion des arts en échangeant avec les visiteurs.
Il y aura également une tombola, une buvette et de la restauration sur place.
Amis des arts et de la création retenez la date du dimanche 19 Mars, l’entrée est gratuite et pour tout public.

Afin de prendre en charge les exigences environnementales d’aujourd’hui, Mr le Maire et la responsable du service eau et environnement du Pays Monts et Barrages a missionné les étudiants Anaïs, Simon et François, du lycée professionnel en section diagnostique et aménagement des ressources en eau d’Ayon, afin de réaliser dans un premier temps une étude d’impact de cet ancien dépôt sauvage à l’abandon qui part de la route pour finir en contre-bas dans le cours d’eau.
Cette étude consistera en des prélèvements de l’eau en amont et en aval de la décharge, pour les analyser, de même que les ruissellements, elle devra également détecter les traces éventuelles de chlorure, de métaux lourds, de carbone, d’azote ou de phosphore.
Car nous savons tous que les dépôts sauvages dégradent la qualité des paysages, mais peuvent aussi polluer les sols, l’air et les eaux de rivières, altérer la qualité des nappes phréatiques et menacer la faune et la flore locales.
Il importe donc de s’assurer que cette décharge ne pollue plus le ruisseau, notamment en période de pluie, ni l’air (la fermentation des déchets peut produire du méthane, un gaz à fort effet de serre). Sans oublier qu’elle peut être génératrice de risques pour la santé humaine, puisqu’elle dégage probablement des gaz toxiques permettant le développement de gènes pathogènes.
Une fois les conclusions de l’étude rendues, et s’il n’y a pas de risques pour le personnel, la municipalité entreprendra le nettoyage du site par le biais d’une association d’insertion.
70 ans de mariage
qui dit mieux ? Petit retour en arrière
Henri Pichaud est né le 31 mars 1922 à Vaux, sur la commune de Sussac. Issu d’un milieu très modeste, il obtient son certificat d’études à 12 ans et travaille à la ferme familiale avec son frère. En 1943, il part au STO en Allemagne et y reste 5 mois.
Un engagement aux côtés de Guingouin
Puis il profite d’une permission pour s’engager dans la résistance aux côtés de Georges Guingouin (1 re brigade du Limousin dans les légaux localisée à Sussac). L’été 1944, il participe entre autres à la bataille du Mont-Gargan et à la libération de Limoges mais refuse de prendre part à l’épuration. Il rentre chez ses parents et reprend son travail à la ferme en novembre 1944.
Andrée Eglizeau, est née le 1 er mai 1930 au Poumeau sur la commune de La Croisille-sur-Briance. Fille unique issue d’un milieu modeste d’agriculteurs, elle obtient son certificat d’études à 13 ans. Adolescente, elle vit aussi la guerre de très près puisqu’un camp de maquisards s’installe dans la forêt juste à côté de sa ferme et qu’ils viennent dormir au chaud chez elle durant l’hiver 43-44.
Andrée et Henri se rencontrent en mars 1946 au Poumeau, où Henri est de passage chez des amis. Il aperçoit au loin une bergère qui garde ses moutons dans le pré. Henri décide d’aller lui dire bonjour
Elle était tellement jolie, elle n’avait que 16 ans.
Le charme de la jeune bergère
Après quelques invitations aux bals du coin au cours desquels Andrée était, comme il se doit à l’époque chaperonnée par sa mère, Henri fait sa demande en mariage. Ils se marient le 25 janvier 1947 au Poumeau.
Après un voyage de noces à Port-la-Nouvelle où ils découvrent la mer pour la première fois, Henri et Andrée reprennent la ferme au Poumeau, qui compte alors six vaches dont un bœuf de trait.
En 1955, la vente de leurs deux bœufs de trait et leurs quelques économies leur permettent d’acheter leur 1 er tracteur. Au fil des années, Henri et Andrée font fructifier leur élevage jusqu’à obtenir un cheptel de 40 mères vaches.
Andrée donne naissance à une unique fille, Annie, le 1 er novembre 1949. Annie a ensuite deux filles : Nathalie en 1974 et Delphine en 1982, qui sont élevées au Poumeau auprès de leurs grands-parents. Les années défilent au rythme des saisons et des travaux de la ferme. Andrée et Henri sont heureux. Ils participent même avec leurs enfants à l’élevage de chevaux pendant 30 ans.
Puis c’est la retraite, Henri continue de chasser, de jardiner et de s’investir dans son association d’anciens combattants dont il est encore président. Andrée s’occupe de sa maison et de ses animaux. Ils sont aujourd’hui les heureux arrière-grands-parents de Lucas, 15 ans, Eloïse, 12 ans et Hugo, 3 ans.
Très aimés de leur famille et de leurs amis, ils étaient à l’honneur dimanche dernier pour fêter leurs 70 ans de mariage, entourés de leurs enfants et neveux et quelques surprises les attendaient, comme cette magnifique pièce montée.
Le Maire et la Municipalité de La Croisille sur Briance s’associent
(Texte tiré du populaire du centre du 12 février 2017).

Les efforts se sont portés sur des épicéa de sika des douglas et des feuillus, avec un travail particulier sur la préparation des passages ou doivent se réaliser les deux dérivations des cours d’eau d’alimentation du plan d’eau, travaux qui seront réalisés au printemps par l’entreprise Massy.
Le but de toutes ces activités, étant, que rien ne soit oublier pour que ce site bénéficie d’une grande mise en valeur environnementale une fois tous les Travaux terminés.

Pour l’année 2016 les gendarmes ont fait 306 interventions contre 262 en 2015 avec 89 interpellations contre 79.
Leur taux d’élucidation des délits s’élève à 66% contre 52% en 2015 et leur part de travail est de 26% en police judiciaire, 47% en surveillance et le reste en opérations diverses.
Pour La Croisille-sur-Briance les affaires sont pratiquement stable en 2016 au chiffre de 8 pour 7 en 2015.
L’objectif fixé par la gendarmerie pour 2017 est de revenir en dessous des 200 délits, notamment en continuant de travailler avec les Maires du canton.
Avant le verre de l’amitié , la séance s’est terminé par le jeu traditionnel des questions/réponses entre le major et les élus présents.

C’est la raison pour laquelle la cérémonie de la Sainte Barbe de ce samedi soir à Chamberet avait un climat particulier, puisque ont y notait, outre la présence de Maires et de conseillers départementaux de la Corrèze, celle des Maires de La Croisille, de Domps de St Gilles les forets, d’une adjointe au Maire de Surdoux et du conseiller départemental d’Eymoutiers autour du Sénateur Maire de Chamberet.
D’ailleurs dans son bilan de l’année écoulée le chef de centre, l’adjudant-chef Michel Mays, notait déjà des sorties sur la haute-vienne, ensuite et comme le veut la tradition, au cours de ces cérémonies, il fut procédé à la remise de diplômes aux jeunes sapeurs- pompiers, et à la promotion de sapeurs volontaires à des grades supérieurs.
Avant de passer à table pour le traditionnel repas de la Sainte Barbe, les échanges furent très nombreux et fructueux, notamment entre le Sénateur-Maire de Chamberet Daniel Chasseing, le Maire de La Croisille Jean-Gérard Didierre, les conseillers départementaux corréziens Hélène Rome et Jean-Jacques Lauga, et celui d’Eymoutiers Thierry Lafarge.