Commune de La Croisille-sur-Briance

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Soirée moules-frites chez Kevin

27 avril 2019

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Les maisons de services au public existent déja c’est la Mairie.

27 avril 2019

INTERVIEW – Pour réduire les fractures territoriales, Emmanuel Macron veut renforcer le projet de «maison de services au public» pour qu’il en existe une par canton d’ici 2022. Mais pour Cédric Szabo, directeur de l’Association des maires ruraux de France, le risque est de créer de la distance supplémentaire dans les campagnes.

LE FIGARO. – Lors de sa conférence de presse jeudi 25 avril, Emmanuel Macron aannoncé un plan «Maison France Service» avec une «maison de services au public» dans chacun des quelque 2000 cantons d’ici 2022. Cela vous paraît-il aller dans la bonne direction?

Cédric SZABO. – Les maires de notre réseau y voient d’abord un effet trompeur. Les «maisons de services au public» (MSAP) existent depuis plusieurs années. Il y en a actuellement environ 1300. Il y en aurait donc 700 de plus d’ici trois ou quatre ans. On se rend compte que c’est la seule réponse du président au problème, bien identifié par ailleurs, du manque de proximité des services publics et du sentiment d’abandon de certains habitants, notamment dans les zones rurales. Ce n’est évidemment pas suffisant.

» LIRE AUSSI – L’éditorial du Figaro: «Pour Macron, tout reste à faire…»

Et puis, des élus s’inquiètent. Dans certains cantons géographiquement étendus, il y a parfois déjà plusieurs MSAP. Cela signifie-t-il que certaines disparaîtront? Proposer des maisons «cantonales», c’est méconnaître la réalité du monde rural.

Deux mille points d’accès pour coordonner les services publics, ce n’est donc pas suffisant?

En réalité, la vraie maison de service public existe déjà, c’est la mairie. Il en existe plus de 35.000 en France. Il faut s’appuyer sur ces fonctionnaires et ces élus au contact des 22 millions de ruraux. Si l’État souhaite que ce rôle soit dévolu au MSAP au niveau cantonal, ce n’est pas la bonne réponse. Au contraire, on risque de développer un outil qui crée de la distance. Je rappelle que, depuis le redécoupage de 2014, il y a 2000 et non plus 4000 cantons. Surtout, cette réforme a surtout concerné les zones rurales où l’on est souvent passé à un canton pour trois précédemment. Emmanuel Macron a déploré les «mobilités contraintes». Mais nous y sommes si on est obligé de faire trente kilomètres pour aller jusqu’à la MSAP.

Vous êtes donc contre ce dispositif?

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Non, ce sont les communes rurales qui ont créé ensemble les MSAP et qui les financent, mais pas dans l’objectif de remplacer le rôle de la mairie. Il faut penser en réseau et redonner aux communes les moyens de travailler en coopération avec les MSAP. Ce que nous voulons, c’est que la mairie soit confortée dans ce rôle de premier contact de proximité où les habitants sont guidés vers la bonne administration, où l’on pourra leur dire à quoi ils ont le droit, où l’on pourra les aider à remplir un formulaire.

La Cour des Comptes notait récemment qu’il était déjà difficile pour les MSAP de disposer de toutes les informations et de toutes les compétences pour bien guider les administrés. Cela ne serait-il pas pire au sein des mairies?

Le problème, c’est que l’on veut faire de la centralisation alors qu’il faut privilégier une logique de coordination. Si on veut tout centraliser, comme le rappelle la Cour des Comptes, même les MSAP n’y arrivent pas. Ajouter de la distance ne sert à rien. Certes, les secrétaires de mairie n’ont pas de compétences universelles – certains connaissent mieux les questions d’urbanisme, d’autres les questions sociales, etc. – mais ce qu’il faut réussir à faire, c’est d’améliorer le dialogue entre les différents échelons administratifs, en privilégiant une logique de réseau. Pour améliorer ce dialogue, il faut plus et non moins de mairie. Déjà, dans beaucoup de communes, les habitants peuvent y obtenir des rendez-vous avec des opérateurs. S’il y a un besoin, l’opérateur doit se déplacer.

Tout ceci coûte cher. Emmanuel Macron, en évoquant les MSAP, a aussi parlé d’«économies»…

Une mairie rurale, ce n’est pas ça qui coûte cher dans les finances publiques locales. Profitons de ces mairies qui existent déjà, ce sont notre patrimoine commun. Après, sur les MSAP, jusqu’à maintenant, l’État n’a pas voulu aller au-delà des 1300. Emmanuel Macron change de direction. Mais il faudra financer ces 700 MSAP supplémentaires. Or, ce sont d’abord les collectivités territoriales qui les financent, par les communes ou par les intercommunalités, avec un complément de l’État. On est donc très prudent quand en même temps, on impose des baisses de dotations à la moitié des communes!

Et les opérateurs de l’État qui gèrent les services concernés, comme Pôle Emploi, GRDF, la Mutualité Sociale Agricole, La Poste, les caisses d’assurance maladie, etc.?

Jusqu’à maintenant, ils participaient au financement dans le cadre d’un fonds commun inter-opérateurs, mais, en réalité, depuis la création des premières MSAP en 2010, il y a une forte réticence des opérateurs nationaux. Plusieurs souhaitent se désengager. Si le message du président, c’est de demander à ces opérateurs de réviser leur stratégie, on sera derrière l’État pour le soutenir. Mais nous pensons qu’il faut en même temps renforcer le rôle d’interface des municipalités. Les Français ne veulent pas moins de mairies et le président a salué le rôle des élus. Pourquoi cette réticence à traduire cet enthousiasme envers ces bénévoles dans un acte de confiance concret pour rendre le service public plus efficace grâce à une proximité effective?

 

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La 4éme Rando Mob de La Croisille

22 avril 2019

Dimanche 5 mai : retrouvez vos 16 ans avec la meule mania de La Croisille.
Que vous soyez quinquagénaire ou plus et quelque peu impatient de retrouver des sensations oubliées, ou un ado peu rassuré à l’idée d’avoir à piloter un véhicule que vous pensiez en voie de disparition, vous serez le bienvenu le dimanche 5 MAI à la Croisille-sur-Briance pour la 4ème grande rando mob où la nostalgie et l’inquiétude font vite faire place à la curiosité d’enfourcher ces mythiques engins que sont les Motobécanes, les Peugeots, les Motoconforts,,les flandrias, les Françaises Diamants, les Terrots, ,les Zundapps ou les piagos et les lambrettas et Vespas sans oublier les solex.
Vous allez vite trouver ou retrouver l’agréable sensation de poser votre derrière sur la selle d’un deux roues de ces époques révolues faites d’insouciance de joie et de bonheur.
Pour ce faire les organisateurs viennent de tourner tout ce lundi de pâques pour arrêter les circuits, qu’ils ont fait bien entendu sur leurs montures rutilantes et colorées tellement elles sont bichonnées et bien entretenues.
Deux parcours ont été arrêtés faits de rencontres, de détours et de coins secrets qui s’offriront à vous :

  • Le matin top départ à 10h30 celui de la petite balade autour de La Croisille-sur-Briance
  • L’après-midi départ à 14h30 de la  « Meule Mania » la 4ème grande rando mob sur 65 km avec départ et arrivée à la Croisille. Vous passerez par Magnac–Bourg, Meuzac, Masseret ou la Porcherie

Finalement, le plus difficile de cette aventure c’est de choisir entre l’une ou l’autre ou de faire les deux !!!
Casques, gants et cuirs enfilés vous voilà prêts à partir sur les petites routes à dos… de vos jolies mobylettes. L’adaptation se fait très vite et vous pourrez circuler librement et à votre rythme, vous arrêter où bon vous semble et profiter au maximum de votre journée ; ce n’est pas une course .
Les rencontres au gré des chemins feront inévitablement partie de votre escapade car vous vous en doutez, vous ne passez pas inaperçus et les gens que vous croisez ici et là, sourient, vous font des grands gestes ou engagent la conversation quand vous arrêtez, tous curieux de voir débouler au creux de leur vallée de jolies mobylettes colorées !!!
Vous filez sur les petites routes, pétaradant et riant de votre look, vous retrouvez vos 16 ans pour les uns ou faites une découverte insolite pour les autres, toujours est-il que la mobylette est le mode de déplacement idéal pour découvrir ce joli coin du sud de la Haute-Vienne et profiter autrement des petits coins secrets du secteur du Mont Gargan.
L’an dernier c’est plus de 100 passionnés de la mobylette qui ont participé à l’épopée.
La journée de la mobylette de La Croisille organisée par l’association M’Autonédières et la Mairie commence le dimanche à 9h par la bourse aux pièces détachées et l’exposition de motos anciennes et de cyclos et se termine à 18h. Entre temps un repas est organisé à la salle des fêtes pour 10€.

 

 

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21 avril 2019

INTERVIEW AU JOURNAL LE NOUVELLISTE DU 19 AVRIL 2019

JE VEUX CONTINUER A AGIR POUR LA CROISILLE !

 Serez-vous candidat aux élections municipales ?

 D’abord si j’annonçais aujourd’hui que je ne suis plus candidat, quelle légitimité aurais-je  pendant un an ? Donc raisonnablement, la réponse est oui, d’autant plus que mon premier adjoint Alexandre BARA qui aurait pu prendre la suite ne le veut pas pour des raisons professionnelles et de disponibilité.

 Pourquoi serez-vous candidat ?

 Si j’envisage d’être candidat à nouveau c’est d’abord qu’il reste du travail à faire et à finir pour la commune et j’aurais un goût d’inachevé si je ne continuais pas, et j’ajoute que des dossiers sont prêts,  vous comprendrez donc aisément que ce serait frustrant d’avoir préparé tout cela depuis des années et ne pas être en fonction au moment de recueillir les fruits de ce travail.

Et j’ai aussi aujourd’hui la même passion pour La Croisille que celle qui m’animait il y a dix ans .

 Quelle expérience en tirez-vous ?

 C’est une fonction passionnante de par sa proximité avec les administrés, surtout que je suis présent tous les matins à la mairie , et que ma porte est toujours ouverte, les gens le savent et ils viennent me voir directement, d’autant plus que je ne prends pratiquement pas de vacances.

C’est une formidable expérience d’engagement et de dévouement pour les autres, avec une multitude de petites actions, incessantes, persévérantes dans tous les domaines qui obligent d’être sans relâche sur le terrain.

En tant que maire,  je n’ai qu’une idée en tête chaque soir en me couchant , c’est de penser à l’amélioration du trottoir du coin de la rue ou des trous d’un chemin communal à faire boucher, en un mot du bien-être de mes administrés.

 Vous n’augmentez pas les impôts locaux, comment faites-vous ?

 D’une part, je n’augmente pas les impôts locaux et en même temps je diminue notre dette, et pour le prochain mandat nous serons en capacité de réinvestir sur un gros projet comme la réhabilitation de la salle polyvalente, d’ailleurs en bon gestionnaire, ce qui compte ce n’est pas la dette mais la capacité de remboursement.

Mon père me disait toujours « ce qui compte, ce n’est pas ce que tu dépenses, mais ce que tu gagnes ».

 Dans quoi avez-vous investi le plus ?

 Pour les réalisations les plus importantes, d’’abord  l’école communale que nous avons entièrement rénovée, réhabilitée et informatisée pour nos enfants qui sont l’avenir de la commune et nous avons aussi investi pour nos anciens en construisant des maisons pour personnes âgées. Nous avons aussi restauré une grande partie de notre église dont notamment le clocher qui menaçait de s’écrouler. Enfin,  dernièrement nous venons de finir de pérenniser notre plan d’eau de nouailhas en restaurant sa continuité écologique.

 Avez-vous des regrets ?

 Oui un énorme, que nous perdions au 1er janvier la compétence de l’eau au profit de  la communauté de communes, c’est une erreur historique, contre laquelle je me suis senti bien seul pour essayer de l’empêcher.  Je n’ai toujours pas compris pourquoi mes autres collègues Maires l’ont dans leur très grande majorité accepté. 

Un autre regret aussi de ne pas avoir réussi à convaincre l’état il y a 4 ans, d’installer une maison de service publique à La Croisille, résultat dans la commune qui a été choisie elle n’a toujours pas vu le jour.. !

 Des satisfactions ?

 Celle d’avoir chez nous une chaine de santé performante , avec une pharmacie et des infirmiers qui viennent de se regrouper dans une maison de santé avec notre jeune médecin Marie DEBORD , grâce a eux l’avenir médical de la Croisille est assuré, ce qui est très rare dans les communes rurales d’aujourd’hui, qu’ils en soit remerciés.

 Pour l’avenir votre souhait ?

 Continuer à être au service des autres, avec une équipe qui sera renouvelée à 50 %,  pour construire dans l’intérêt général, ce qui est difficile, car nous avons souvent en face de nous beaucoup de gens qui ne voient que leur intérêt personnel , et cela peut déranger certains qui pratiquent  le « y’a qu’à,  faut qu’on ».

En un mot, je veux continuer à agir pour La Croisille-sur-Briance.

 

 

https://www.lacroisillesurbriance.fr/6123-2/

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Un nouveau camion !

15 avril 2019

Il était temps, après 20 ans de bons et loyaux services, le précédent camion commençait à coûter cher.
L’ancien datait de 1999 et il y avait de plus en plus de frais à effectuer. Le calcul a été simple : il revenait moins cher d’investir dans un nouveau camion plutôt que d’effectuer toutes les réparations (amortisseurs, bielle coulée, etc..) sans savoir ce qui arriverait ensuite.
La municipalité a choisi la méthode du crédit-bail, ce qui permettra dans cinq ans soit de le garder soit de repartir pour 5 ans avec un neuf.
Floqué aux couleurs de la commune il est désormais bichonné par les employés communaux Stéphane et Claude.
Le moins qu’on puisse dire c’est que ça leur change les habitudes, « c’est neuf alors on n’ose pas salir ».
Ils ont fait le calcul et, si le nouveau fait le même boulot que l’ancien, ils n’en recevront plus d’autres avant la retraite…. !

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Les 3 ans de Relook et moi

11 avril 2019

Au-delà des trois ans d’une enseigne sur la place du centre-bourg de La Croisille, c’est un salon de coiffure inscrit dans son époque à plus d’un titre qui vient de fêter son 3e anniversaire.
A « Relook et moi » la durabilité s’exprime du point de vue des pratiques, du cadre et du décor, et bien-entendu du lien de fidélité créé par Justine avec ses clients et clientes.
D’ailleurs, ce n’est pas un hasard s ils sont nombreux à La Croisille à appeler Justine par son diminutif de  « ju ju » tant elle participe par sa gentillesse à la confiance, voire à la complicité bien établie.
Un cadre, un décor, des prestations, un grand professionnalisme de sa part et une invitation à fêter l’anniversaire aux nombreux clients et amis, ont permis à tout le monde de faire la fête au salon de coiffure, et ce jeudi soir ou se pressaient outre ses nombreux clients, le maire et aussi une bonne partie de l’équipe féminine de football de la Croisille dont Justine est …….le gardien de but.

Ouvert : mardi 9h00 – 18h30. Mercredi 9h00 – 13h00. Jeudi  9h00 – 18h30. Vendredi 8h00 – 19h00 et Samedi 8h00 – 13h00  . Contact téléphonique au 07.77.91.66.18.

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Rendez-vous au Croisil’Bar

11 avril 2019

Prendre un petit café ou un apéro ou acheter son journal… Pour les 700 habitants de La Croisille-sur-Briance, ce plaisir simple est à nouveau possible sans devoir faire des kilomètres. Le bar-tabac de la commune vient de rouvrir ses portes.
On compte désormais dans la commune une boulangerie, une épicerie, une pharmacie, un magasin d’électricité, une coiffeuse, un restaurant, une poste communale, de nombreux artisans et maintenant à nouveau un bar-tabac presse qui s’appellera désormais « Le Croisil’Bar »  . 
Repris par Fabrice Garcia, la vie va reprendre dans ce lieu créateur du lien social où on va à nouveau pouvoir venir boire un pot, acheter son journal ou encore tout simplement échanger et plaisanter entre amis, en un mot passer un bon moment.
Longue vie au Croisil’Bar.

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La course pour la vie revient le 30 juin

8 avril 2019

La course pour la vie et contre le cancer est devenue dans de très nombreux pays, un véritable phénomène de société !!!Événement incontournable de la lutte contre le cancer en France à La Croisille-sur-Briance et c’est à l’initiative de Sarah Berry que cette manifestation a vu le jour en partenariat avec la Mairie.

Comme tous les ans maintenant Sarah est venue rencontrer ce lundi matin M. le Maire de La Croisille  pour un premier contact afin d’organiser la 7ème édition de la course pour la vie, le dimanche 30 juin 2019 dans l’enceinte du Stade Municipal Jean Chassagne.

En tant qu’acteurs de la commune, comme tous les ans , les associations, les commerçants, les élus et toutes les personnes concernés par cette opération au profit de la lutte contre le cancer seront mises à contribution pour participer et prendre part au projet et seront bientôt réunis pour un comité de pilotage et d’organisation.


EN SAVOIR PLUS :

Issu du concept nord-américain « Relay for Life » créé en 1985 par l’American Cancer Society, et transporté en Angleterre «  Race for the life » La « Course pour la vie » est relayée en France depuis 2006 par la Ligue contre le Cancer et à La Croisille depuis 2011 qui réunit à chaque édition des centaines de personnes autour d’une même cause : la lutte contre le cancer.

L’événement consiste en une course ou une marche autour du terrain d’honneur, sans esprit compétitif mais dans un seul et même objectif : lutter contre la maladie pendant que de nombreuses animations sont proposées au public (concert, danse, vide-grenier, restauration rapide,  activités pour les enfants, etc.).

 

 

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VOUS POUVEZ JUSQU’ AU JEUDI 4 AVRIL A 18H00 ENCORE VOUS INSCRIRE SUR LES LISTES ELECTORALES.

2 avril 2019

A la suite d’une forte affluence, certains électeurs n’ont pas pu finaliser leurs demandes en ligne d’inscription sur les listes électorales débutées le 31 mars 2019 et d’autres électeurs ont été contraints de finaliser leurs demandes dans les premières heures du 1er avril 2019 (heure de Paris).

Les électeurs n’ayant pas pu finaliser leurs démarches ont été invités par message de la DILA à les renouveler dès maintenant et d’y joindre ledit message, faisant office d’attestation. Afin que les demandes ainsi déposées soient bien prises en compte pour voter aux prochaines élections européennes du 26 mai 2019, elles doivent être réalisées d’ici le jeudi 4 avril 2019 à 18 heures (heure de Paris).

Ces électeurs peuvent également déposer leurs demandes, complétées du message de la DILA, au guichet de leur commune d’inscription.

Par ailleurs, les demandes d’inscription transmises aux communes jusqu’au 1er avril 2019 doivent être traitées comme ayant été déposées avant le 31 mars 2019 à 23h59 heure légale de la commune d’inscription.

Dans tous les cas, les communes devront modifier la date de « dossier complet » en y indiquant la date du 31 mars 2019.

Si ces demandes ont déjà été instruites, la commune devra saisir manuellement une nouvelle demande d’inscription et renseigner la date de « dossier complet » en y indiquant la date du 31 mars 2019.

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Aija naturalisée française

27 mars 2019

La remise du décret de naturalisation est toujours un moment fort en émotion pour les demandeurs puisqu’elle marque l’entrée dans la communauté nationale.
Le Secrétaire Génèral de la préfeture de la Haute-Vienne, M. Jérome DECOURS a accueilli, ce mercredi après-midi, les nouveaux citoyens français résidant dans le département .
Dans la très belle salle des fêtes aux moulures dorées de l’hôtel préfectoral de Limoges, plusieurs personnes ont reçu des mains du sous-préfet leur décret de naturalisation. « Je suis fier de vous accueillir parmi nos concitoyens et vous pouvez être fiers d’être Français », va-t-il ajouté à l’issue d’une vidéo de six minutes rappelant les grandes dates de l’histoire de France, mais aussi les valeurs incarnées par la devise républicaine.
Pour ces nouveaux Français, originaires de beaucoup de pays très différents, cette cérémonie est souvent l’aboutissement d’une longue procédure, entamée depuis plusieurs années comme celle d’Aija SCHMITT née ALTERGA résidente de La Croisille-sur-Briance et Létonne de naissance qui participait à cette cérémonie d’accueil dans la citoyenneté accompagnée pour l’occasion par son Maire Jean-Gérard Didierre et toute sa famille
Un sentiment de soulagement et une fierté d’obtenir le précieux sésame, partagés visiblement et unanimement, par tous ces binationaux se sentait bien dans la salle.
Fait plus surprenant, le Royaume-Uni a fait son apparition dans les naturalisations du fait des incertitudes liées au Brexit, qui ont clairement encouragé les Britanniques, à demander la nationalité française. notamment les retraités installés dans le limousin,

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