Si vous passez par la route de ST-GERMAIN-LES-BELLES  vous n’avez pas rêvé si vous avez vu des personnes en barque sur la lagune de La CROISILLE !!! Nous ne sommes pas à VASSIVIERE avec des plaisanciers.  Il s’agit là, de relevés bathymétriques de la lagune , réalisés en ce moment avec prélèvements des boues avant analyse complète  par un cabinet indépendant pour déceler leurs valeurs agronomiques ou des éléments de traces métalliques d’oligo-éléments et de traces organiques.
Ensuite, le cabinet soumettra à la Mairie un projet de réalisation d’un plan d’épandage dans le contexte réglementaire et environnemental actuel, pour proposer en 2018  un plan d’épandage comprenant des études et analyses complètes des sols.

La soirée du samedi 7 octobre sera dédiée à l’observation du ciel nocturne à La Croisille-sur-Briance, en partenariat avec l’Association Nationale de Protection du Ciel et de l’Environnement Nocturne (ANPCEN) et de l’Association pour la Découverte de l’Atmosphère et de l’Espace (ADAES).
Cette soirée, ouverte à tous et gratuite, débutera à 20h à la salle des Fêtes par une conférence de Michel Deromme, de l’ANPCEN, consacrée à la pollution lumineuse.
A partir de 21h, grâce à différents instruments spécifiques, si la météo le permet, nous pourrons observer les étoiles depuis le stade du village. Cette animation permettra d’aborder les constellations d’automne d’un point de vue mythologique.
En cas de météo défavorable, un repli est prévu à la salle des Fêtes.
L’ANPCEN est devenue l’acteur de référence des enjeux de la pollution lumineuse. Elle sensibilise à l’occasion du « Jour de la Nuit », et elle mobilise tout au long de l’année, au quotidien, partout en France, les citoyens, les élus, les équipes territoriales, les acteurs des territoires et les décideurs nationaux par une action de fond.
Mais qu’entend-on au juste par « pollution » ?
Par définition, la pollution est la dégradation d’un écosystème par l’introduction, généralement humaine, de substances ou de radiations altérant de manière plus ou moins importante le fonctionnement de cet écosystème.
Le terme est le plus couramment employé pour parler de l’air pollué, ainsi que l’eau ou le sol, c’est-à-dire l’environnement, mais l’on parle également de pollution sonore, de pollution visuelle et, dans le cas présent, de pollution lumineuse.
La vie est née avec l’alternance naturelle du jour et de la nuit. Les dispositifs lumineux artificiels et relativement puissants que l’homme met en place perturbent nécessairement ce cycle et son équilibre, que ce soit en ville ou en milieu rural.
Depuis les avenues des métropoles, la plupart des étoiles sont rendues invisibles par les gangues lumineuses orangées produites par l’éclairage public et les enseignes aveuglantes des commerces qui restent allumées pendant toute la nuit. On pourrait ainsi dire que les constellations fuient les villes qui les agressent. Ces gangues lumineuses sont parfois visibles de très loin.
En milieu rural, le problème survient de la même façon, dans une proportion évidemment plus réduite, mais la lumière n’en demeure pas moins nuisible, non seulement à notre propre égard (notre perception de la nuit est faussée et notre sommeil perturbé par les éclairages artificiels omniprésents), mais aussi à l’égard de la faune et de la flore.
La flore est multiple. Elle comprend bien sûr les arbres et toutes les formes de végétaux qui composent nos forêts, mais aussi notre environnement personnel immédiat : nos potagers, nos arbres fruitiers, nos fleurs. Les caprices et les dérèglements de la météo ne sont pas les seuls facteurs à impacter l’équilibre de cette flore-là. Un éclairage artificiel permanent dans les villages affecte son bien-être.
Concernant la faune, l’impact peut être pire, selon les espèces. Demandons donc aux oiseaux, nocturnes ou diurnes, ce qu’ils pensent de nos lampadaires. Ou aux chauve-souris, aux insectes, aux poissons, aux vers de terre, aux mammifères. Leurs cycles de reproduction, forcément perturbés, ne sont pas la seule conséquence produite par la lumière artificielle. Il en va souvent de leurs propres existence et survie.
Pour exemple, dans un village, à l’occasion de la mise en lumière nocturne d’une église, en vue d’une valorisation du patrimoine bâti, des dizaines de chauve-souris qui nichaient dans le clocher et qui étaient habituées à sortir la nuit pour se nourrir, se sont brusquement retrouvées piégées par l’alternance de la lumière du jour et celle des projecteurs braqués sur l’église pendant la nuit. Ainsi, pour les chauve-souris, il a cessé de faire nuit. Elles eurent beau attendre, le jour ne s’est plus jamais interrompu. Elles se sont laissées dépérir.
Les positions prises par l’ANPCEN font appel au bon sens d’abord : agir par les mesures qui ne coûtent rien, mais qui ont des résultats immédiats, en euros, en KWh économisés et en nuisances lumineuses diminuées.
(extrait du site de l’ANPCEN : https://www.anpcen.fr )
Un autre rendez-vous vous est proposé, le samedi 14 octobre, à l’occasion d’une soirée littéraire également dédiée à la nuit, toujours à la Croisille-sur-Briance, dans le cadre de la manifestation nationale « Le Jour de la Nuit ».

C’est à la caserne de CHAMBERET en Corrèze que vient d’être prise la photo du calendrier 2018 des pompiers de cette commune, en présence de  Bernard RUAL Maire de CHAMBERET et de Jean-Gérard DIDIERRE Maire de La CROISILLE-SUR-BRIANCE avec les Maires de DOMPS, SURDOUX St GILLES et MEILHARDS.
En effet,  depuis plusieurs mois maintenant  c’est le SDIS de la Corrèze  qui assure les secours avec l’engagement du premier véhicule des pompiers sur La CROISILLE-SUR-BRIANCE pour les lieux dits : Chassagnas, La Boisssonnie, La Cidrerie, La Croix de Borde, Lapeyre, Le Larcy,  Larfouillere,  Las Rochas, Le Bois Barrat, , Le Cheyroux, Le Mas d’Hubert, Le Mazaudois, Le Pouyol, Les Ganottes, Les Rivauds, Les Rouchoux, Verdeyme ,Puy Larcy.
Le SDIS de Saint Germain les Belles assurant toujours  les secours du reste de La CROISILLE-SUR-BRIANCE.

A la demande de l’ESLCL,  le club de football local , la municipalité de La Croisille-sur-Briance a confié à l’entreprise FERRAND, spécialisée en rénovation de terrains de sports, la remise en état de son terrain de football du stade municipal Jean CHASSAGNE.
Cinq opérations ont été nécessaires pour la réfection totale du terrain. Dans un premier temps le service technique municipal a apporté 60 tonnes de sable afin de maintenir la perméabilité à l’eau et d’améliorer également la texture du sol et sa planéité.
Ensuite l’entreprise FERRAND  a procédé à un décomptage avec des outils dont le principe est de faire pénétrer une broche en force dans le sol et lui donner un mouvement de levier pour éclater le sol en profondeur sans détériorer la surface.  Puis elle a procédé à un brossage du sol et à un nivellement avec 59 trous au m².
Et pour finir par un épandage des engrais et un semis de regarnissage en deux passages croisés avec une machine avec un espace disque de 7 cm.
La nouvelle pelouse sera utilisable par les joueurs après la trêve hivernale. 

La pompe de relevage du captage de verdeyme qui était tomber en panne ce dimanche, à été changée ce lundi matin et nous avons fait livrer 30 M3 d’eau dans le château d’eau de Chassagnas, il n’y a donc plus de problème sur ce réseau d’eau pour les administrés.

C’est devant une très bonne assistance et en présence de Monsieur le Maire de La Croisille que la Présidente de Croisille Récré Art Tion Eliane Duchez a ouvert son Assemblé Générale en présentant dans un premier temps les faits marquants de la  saison  2016/2017.
Un nombre d’ateliers découverte légèrement supérieur à l’an dernier : 18 avec 3 ateliers à 2 séances (bracelet fimo, poterie, broderie suisse) et l’émail, avec aussi un nombre de participations en hausse 149 contre 110 l’année passée.
La présidente a aussi rappelé que l’atelier poterie ne sera pas renouvelé car Sylvie ERHART va prendre sa retraite.
Il y eut aussi la sortie/visite au moulin du Got. Ensuite l’événement créatif collectif des arrosoirs dont la présence dans les arbres puis sur la place a été particulièrement appréciée. Ont été appréciés aussi, en extérieur route du Mont Gargan,  l’expo-photos sur le thème “au fil de l’eau” pour la fête patronale de la Croisille  ainsi que la course pour la vie en partenariat avec la ligue contre le cancer fin juin au stade avec la création d’un arbre à vœux. Manifestation organisée par Sarah Berry et la municipalité.

La fin de l’année verra le 7 octobre un atelier broches en tissus puis le 14 une sortie /visite au musée de la résistance à Limoges. Le  28 octobre un atelier trapillo. En novembre il y aura deux ateliers cadres en boutons les 4 et 18 dont la grande Expo vente se tiendra le dimanche 26 novembre à la salle des fêtes.
Pour terminer l’année,  les 2 et 9 décembre auront lieu un atelier émail et le 9 une séance cartes de noël. Puis le 16 un atelier lutin dans son pot.
L’ensemble du Bureau a été réélu à l’unanimité et se compose de : Eliane Duchez Présidente, Letty Ruijters Vice-Présidente, Annie Pénicaud Trésorière, Nathalie Mazalaigue Trésorière-Adjointe, Jackie Prevost Secrétaire avec Astrid Schneider comme suppléante.
La Présidente conclut la séance, en remerciant la municipalité pour la mise à disposition d’une salle chauffée par la commune ce qui permet une grande souplesse dans la gestion des ateliers car il est possible d’entreposer le matériel, et de le laisser en attente d’une semaine sur l’autre et surtout de mettre en place des séances suivant nos envies.
Et rappelons que les objectifs de l’Association sont toujours les mêmes : créer du lien, se rassembler autour d’activités créatives et animer la commune.

Contact : 05.55.71.73.88. & Site recrearttion.com